Mathieu

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Mathieu

Chef de projet dans une agence digitale travaillant dans l'univers du luxe, il est rapidement attiré par l'horlogerie. Passionné par le web il consacre son temps libre à Watch World Guide. Il adore les montres sous-marines, le vintage et l'histoire des marques.

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Omega Speedmaster ’57 Chronographe Co-Axial

En avril dernier, Omega annonçait à Baselworld une version rétro de sa fameuse montre chronographe Speedmaster. Cette Omega Speedmaster de 56 ans est connu des collectionneurs sous le nom de « moonwatch » car elle fut portée par les astronautes de la NASA pour chacun des 6 atterrissages lunaires.

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Une nouvelle collection de montres Pequignet : Royale Titane

La Manufacture Pequignet confirme son retour sur la scène horlogère en dévoilant une nouvelle collection, de style aviateur, la Royale Titane.

Après une année catastrophique en 2012, la célèbre manufacture horlogère française Pequignet installée à Morteau relève la tête en 2013 – voir notre article Pequignet : le calibre qui sauve,  et s’attaque à un nouveau créneau avec la nouvelle collection Royale Titane : celui des montres d’aviateurs.

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Breitling Navitimer Cosmonaute Blacksteel : 50 ans d’exploration spatiale

L’Omega Speedmaster ou encore la Poljot Strela sont des montres qui viennent immédiatement à l’esprit lorsque l’on pense aux programmes spatiaux. Pourtant, Breitling aussi a marqué la Course à l’espace et célèbre cette année le 50ème anniversaire de ses voyages interstellaires.

Le 24 mai 1962, alors qu’il orbitait 3 fois autour de la Terre à bord d’une capsule Aurora 7, le Lieutenant-Commandant Scott Carpenter portait une Breitling Navitimer Cosmonaute à son poignet. L’avantage de cette montre dans l’espace était son cadran 24 heures, qui permettait de distinguer aisément le jour de la nuit (ce qui n’est pas forcément facile en orbite autour du globe). Il y a quelques années, Breitling a sorti une édition limitée de la Navitimer Cosmonaute en l’honneur de la mission de Carpenter. Aujourd’hui en 2013, 50 ans plus tard, Breitling présente la Navitimer Cosmonaute Blacksteel Edition limitée.

Breitling Navitimer Cosmonaute Blacksteel Edition limitée

navitimer-cosmonaute-blacksteel-02Le modèle fait bien sûr honneur à ces prédécesseurs. La nouvelle montre affiche un boîtier 42 mm en acier noir et doté d’une couche à base de carbone sensée protéger des rayures. Les cadrans reprennent ce noir, rehaussé d’aiguilles rouges et d’indices blancs qui facilite la lecture.

L’ensemble des fonctions est entrainé par le calibre Manufacture Breitling B02 certifié COSC. Comme le modèle original, il est à remontage manuel et présente un système horaire sur 24 heures. Ce mouvement haute fréquence (28 800 bph) est également doté d’un chronographe 1/4 s avec des registres 30 min et 12 h.

Fidèle à la première Navitimer Cosmonaute, le dos du boîtier est orné de l’insigne Aurora 7. L’héritage aéronautique de Breitling se retrouveaussi sur le cadran, équipé d’une règle à calcul, et dans la lunette bidirectionnelle.

La glace en saphir rappelle qu’il s’agit bien d’un montre de luxe, tandis que le bracelet perforé en caoutchouc facilitera la mise à l’épreuve de l’étanchéité à 30 m.

Avec la Navitimer Cosmonaute Blacksteel, Breitling rend un hommage sincère à l’exploration spatiale. La production limitée à 1 000 exemplaires et le prix conseillé de 8 550 € suggèrent l’apprentissage des fonctions de calcul afin de profiter pleinement de cette pièce technique au style raffiné.

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Bremont Codebreaker, hommage au renseignement britannique

Suite à l’annonce de leur désir de rendre l’horlogerie de luxe au Royaume Uni, le patriotisme de Bremont n’était plus à prouver. Avec la Bremont Codebreaker, la marque réaffirme pour autant son caractère historique et militaire.

Produite en édition limitée, la Codebreaker (annoncée à 14 300 € en acier) rend hommage à la Government Code and Cypher School ou GC & CS, service de cryptographie du gouvernement britannique depuis 1919.

La GC & CS a notamment permis d’écourter la Seconde Guerre mondiale d’au moins 2 ans, en décodant le fonctionnement des machines de cryptage allemande. A son sommet, plus de 9 000 scientifiques y travaillaient sans relâche pour décrypter les messages germaniques et permettre aux Alliés de mettre fin à la guerre.

Loin d’être une simple montre numérotée, la Codebreaker incorpore des éléments historiques propres à la GC & CS. La couronne est ainsi incrustée de pin récupéré dans les locaux de Hut 6, la cellule de décryptage aéronavale et terrestre. Le numéro d’exemplaire est imprimé de manière à rappeler les cartes perforées utilisées pour le décodage. Enfin, le contrepoids du mouvement automatique ressemble à la «Bombe», machine mise au point pour découvrir le fonctionnement des outils de cryptage allemands. Le contrepoids lui-même est fait des morceaux d’un rotor d’Enigma.

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Dotée d’un chronographe flyback et d’un second fuseau horaire, la Codebreaker reproduit le style des montres d’officiers britanniques des années 1940. De plus, pour chaque montre achetée, une somme est reversée au Trust de Bletchey Park (nom du GC & GS depuis 1946) pour la conservation et la maintenance du site historique.

La Codebreaker sera produite en 240 exemplaires pour la version en acier et 50 pour la version en or rose. Pour plus d’informations, visitez le site de Bremont.